Après une semaine passée en Allemagne, le départ de Heildelberg s'est fait difficilement. Dans le train pour Karlsruhe, mon esprit était pensif. Heureusement, le ciel était d'humeur joyeuse, ensoleillé, comme pour me rassurer et me consoler : demain sera radieux, profite de ces instants et ne te pose pas plus de questions pour aujourd'hui.
Mon passage à Strasbourg, ville que j'affectionne particulièrement, m'a quelque peu conforté dans cette élan. Pourtant, les messages que les murs de la vieilles villes chuchotaient me rappelaient souvent à mes pensées.
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